Libertés/Démocratie

La LDH s’inquiète des atteintes aux libertés publiques aggravées par des lois sécuritaires qui font des prisons des lieux d’inhumanité et de violence. De même la LDH agit pour l’indépendance de la justice, pour la présomption d’innocence. La LDH est de toutes les mobilisations contre l’extrême droite en France et dénonce leurs politiques discriminatoires. Enfin, les technologies de l’information et de la communication, si elles constituent d’indéniables avancées, peuvent être exploitées et deviennent alors des outils de surveillance et d’oppression.

FICHÉS ? Photographie et identification du Second empire aux années soixante

La LDH vous invite à vous rendre à l’exposition des Archives nationales : “FICHÉS ? Photographie et identification du Second empire aux années soixante” du 28 septembre au 27 décembre 2011

L’exposition retrace l’histoire de l’identité citoyenne et du fichage policier en France, des sommiers judiciaires du XIXe siècle jusqu’à la systématisation dans les années 60, en passant par la “révolution Bertillon” et la naissance de la carte d’identité.

Réhabilitation des Fusillés de 14-18 : l’engagement de l’Assemblée de Corse

2014 sera le centenaire du début de la Grande Guerre. Il est temps que les faits soient reconnus et que la réhabilitation des fusillés intervienne. Ce n’est possible qu’au prix d’un travail méticuleux, dont la LDH et un certain nombre d’historiens demandent aux autorités la mise en route rapide. L’assemblée de Corse s’est engagée ans cette voie

Pour la reconnaissance officielle de la responsabilité de la France dans l’abandon et le massacre des harkis

Lettre ouverte adressée au Président de la République

À la veille de la journée officielle d’hommage aux harkis du 25 septembre 2011, la Ligue des droits de l’Homme s’adresse à Nicolas Sarkozy pour la reconnaissance officielle de la France dans le comportement qu’elle a eu envers les harkis durant la guerre d’Algérie et au lendemain de l’indépendance de ce pays.

H&L 153 – La loi du silence

Note de lecture , 1 page.
“Pour adultes seulement” ! Tel est–était– le titre d’une exposition commanditée par le conseil général de la Somme en janvier 2009. Elle réunit les dessins «pour adultes», réalisés par vingt-cinq dessinateurs de jeunesse et un affichiste. Onze jours avant le vernissage, l’exposition est purement et simplement rayée de la carte.

Liberté, égalité, fraternité… Retrouver la République

Les rassemblements organisés par le collectif “Non à la politique du pilori” le 14 juillet 2011 à Paris et dans d’autres villes de France ont permis d’affirmer la volonté des organisations, associations, syndicats et partis de retrouver les fondamentaux d’une république dévoyée par la politique du gouvernement Sarkozy.

A Paris, en présence de Raymond Aubrac et de Charles Paperon, quelques centaines de militantes et de militants, résistants d’hier et d’aujourd’hui ont entendu les engagement pris par les uns et les autres de ne rien lâcher pour la défense des droits, de la citoyenneté et de la démocratie. Stéphane Hessel, empêché, était présent grâce à un message enregistré spécialement pour cette commémoration du 222ème anniversaire de la prise de la Bastille.
– Regarder le message de Stéphane Hessel

Liberté, égalité, fraternité : retrouver la République

Communiqué LDH

Depuis le trop célèbre « discours de Grenoble » prononcé il y a un an par le président de la République, se sont accumulés les propos, les décisions, les lois et règlements qui menacent, dans une dangereuse convergence avec les idées xénophobes, racistes et discriminatoires portées par l’extrême droite, les principes les plus fondamentaux de la République « laïque, démocratique et sociale » telle que la définit l’article 1er de notre Constitution.

Mémoire des Rosenberg

Communiqué LDH

Le 4 avril 2011, l’association pour le réexamen de l’affaire Rosenberg et la Ligue des droits de l’Homme se sont rencontrées suite à la décision prise par l’association de transférer à la LDH les missions de mémoire et d’histoire sur le sort des époux Rosenberg. Considérant qu’elle ne dispose plus des moyens de les assurer, l’association les transmet à la LDH ainsi que ses archives et le solde de ses avoirs.

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Les droits et les libertés ça n’a pas de prix, mais les défendre a un coût.