La LDH s’inquiète des atteintes aux libertés publiques aggravées par des lois sécuritaires qui font des prisons des lieux d’inhumanité et de violence. De même la LDH agit pour l’indépendance de la justice, pour la présomption d’innocence. La LDH est de toutes les mobilisations contre l’extrême droite en France et dénonce leurs politiques discriminatoires. Enfin, les technologies de l’information et de la communication, si elles constituent d’indéniables avancées, peuvent être exploitées et deviennent alors des outils de surveillance et d’oppression.
Protégeons nos données personnelles !
Grâce à sa section de Meaux, La Ligue des droits de l’Homme a noué un partenariat avec l’Imac, école d’ingénieurs située à Marne-la-Vallée spécialisée dans la formation d’ingénieurs en image, multimédia, audiovisuel, communication. Leur mission : sensibiliser aux droits de l’Homme à travers un support audiovisuel.
Protection des données personnelles
Dans le cadre d’un projet de la DG « justice liberté sécurité » de l’Union européenne, la LDH publie les résultats des 18 mois de travaux effectués en partenariat.
Les données personnelles des citoyens européens seraient-elles menacées par l’utilisation des différentes technologies de l’information et de la communication quand celles-ci sont utilisées à des fins de contrôle et de sécurité ?
Communiqué de soutien à Benjamin Deceuninck, militant de la LDH, convoqué devant le tribunal pour « récidive » de refus de prélèvement ADN.
Communiqué LDH
Suite à sa participation à des actions de fauchage d’un champ d’OGM en 2001, Benjamin Deceuninck a été condamné en 2005 à un mois d’emprisonnement avec sursis. Convoqué en 2006 pour un prélèvement ADN destiné à son inscription au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), il refuse de s’y soumettre.
H&L 144 – Du danger des nanotechnologies
– Rubrique Actualités, 4 pages.
Pourquoi parler des nanotechnologies
? Et qu’ont-elles à voir
avec les droits de l’Homme
? Voici un éclairage utile sur ces
technologies de l’infiniment petit, dont les implications futures
restent encore mal cernées.
Passeport biométrique : IRIS et la LDH demandent au Conseil d’État d’annuler le décret
Communiqué commun LDH – IRIS
Ce décret, dont les associations estiment qu’il a été pris selon une procédure irrégulière, prévoit d’une part la collecte de huit empreintes digitales des demandeurs de passeports, y compris les enfants dès l’âge de 6 ans, et d’autre part la création d’une base de données biométrique centralisée pour la conservation et le traitement de l’ensemble des données recueillies.
Résolution « Sciences, techniques et droits de l’Homme »
Résolution adoptée lors du 79e congrès de la LDH, Grenoble – 26, 27, 28 mars 1999
