Censurer la création, c’est porter atteinte à la faculté de chacun de pouvoir jouir des arts et des œuvres, et porter atteinte au débat et à la faculté critique. Le respect de la liberté de création est essentiel pour la démocratie. Or les formes de censures ou de restrictions imposées aux œuvres et aux artistes ne cessent de se multiplier. La LDH a créé un « Observatoire de la liberté de création » qui, avec de nombreux partenaires, intervient sur ces questions. L’observatoire a publié un guide L’œuvre face à ses censeurs.
2 mars 2004 : La RATP et la SNCF procèdent par intimidation
Communiqué de la LDH.
Condamner les propos de Dieudonné, préserver la liberté de création
Communiqué de la LDH.
Condamnation de l’éditeur Léo Scheer : un jugement scandaleux
Communiqué de la LDH.
Le manifeste de l’Observatoire de la liberté de création
Un personnage de roman ou de film est fictif : il n’existe pas, autrement que dans l’oeuvre. S’il tient des propos racistes, ou s’il raconte sa vie de pédophile, ces propos n’ont ni le même sens ni la même portée que s’ils étaient tenus par un citoyen s’exprimant dans l’espace public.
La censure en toute légalité. La creation de l’Observatoire de la liberté de création
Un texte d’Agnès Tricoire, Déléguée du groupe culture de la LDH.
Les censeurs disposent de nombreux outils pour interdire une œuvre, et cela qu’elle soit fictive ou réelle. Certaines datent de plus d’un siècle, d’autres ont été votées pendant la deuxième guerre mondiale, dans un contexte international compliqué. L’observatoire montre la face cachée de ces lois pour mieux en présenter les absurdités.
Lettre à Messieurs Sarkozy et Aillagon
Lettre de la LDH au sujet du projet de censure de « Rose Bonbon »
A propos du livre de Nicolas Jones-Gerlin « Rose bonbon »
Communiqué de l’observatoire de la liberté d’expression de la LDH