Le 22 février 2012, les journalistes Rémi Ochlik, Edith Bouvier et Marie Colvin, le photographe Paul Conroy et l’interprète Waël al-Omar étaient victimes d’un bombardement alors qu’elles et ils se trouvaient dans un centre de presse informel dans la ville syrienne de Homs. Rémi Ochlik et Marie Colvin étaient tué-e-s dans ce bombardement.
Après treize ans d’enquête, les juges d’instruction du Pôle crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris ont délivré des mandats d’arrêt à l’encontre de sept anciens hauts gradés syriens pour complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
L’émission de ces mandats d’arrêt ouvre la voie à un procès en France sur ces faits, dans le cadre duquel la LDH se constitue partie civile aux côtés de la FIDH et des autres parties civiles.
Lien vers le communiqué de presse de la FIDH : https://www.fidh.org/fr/regions/maghreb-moyen-orient/syrie/syrie-france-affaire-ochlik-bouvier-colvin-la-justice-francaise-emet
