Moshe Ya’alon, ancien chef d’Etat-major des Forces israéliennes de défense (IDF) et ancien chef des services secrets israéliens participe aujourd’hui à une Conférence internationale organisée par l’association France – Israël, Avocat Sans Frontières1 et
La Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), la Ligue des droits de l’Homme (LDH), le Centre Palestinien des droits de l’Homme (PCHR) et
La FIDH, la LDH, le PCHR et
En effet, après avoir essayé pendant des années de poursuivre M. Ya’alon devant les tribunaux israéliens, le Centre Palestinien pour les Droits de l’Homme (PCHR), organisation membre de la FIDH dans les Territoires Palestiniens Occupés et d’autres organisations de défense des droits de l’Homme ont décidé de recourir au principe de compétence universelle pour poursuivre le général et faire la lumière sur les actes commis par ce dernier3.
La FIDH, la LDH, le PCHR et
La FIDH, la LDH, le PCHR et
1 Cette organisation est distincte de
2 La présence de Moshe Ya’alon est attesté à
3 Aux Etats Unis, le général Yaalon est poursuivi pour crimes de guerre, exécutions extra-judiciaires, crimes contre l’humanité et traitement cruel, inhumain et dégradant devant la Cour fédérale américaine pour sa responsabilité dans l’attaque du camp de la FINUL sur la base d’une plainte déposée en décembre 2005 par le Centre pour les droits constitutionnels (CCR), organisation membre de la FIDH aux Etats-Unis.
En Nouvelle Zélande, un mandat d’arrêt a été délivré par
4“Chaque Partie contractante aura l’obligation de rechercher les personnes prévenues d’avoir commis, ou d’avoir ordonné de commettre, l’une ou l’autre de ces infractions graves, et elle devra les déférer à ses propres tribunaux, quelle que soit leur nationalité